Christiane VIORNERY

Pendant de nombreuses années, j’ai adhéré avec enthousiasme au mouvement Support/Surface, j’ai moi aussi « lâché le châssis » et « libéré la toile ». Puis un jour, au hasard de mes promenades en ville ou dans la nature, j’ai voulu renouer avec l’huile et la couleur, attirée par des paysages improbables, maisons isolées ou villes abandonnées. Parenthèse enchantée vécue pendant un espace temps indéfini. J’ai mis en image les mots: arrêt, silence, temps, mystère.